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Les effets de l'espace sur le corps humain

L'astronaute Chris Hadfield, spécialiste de mission et représentant de l'Agence spatiale canadienne (ASC), fait signe à ses collègues astronautes pendant la première sortie extravéhiculaire (EVA-1) de la mission STS-100. Cette photo numérique a été prise par le hublot nadir du laboratoire américain Destiny. (Source : NASA.)

Lorsqu'ils participent à une mission spatiale, les astronautes doivent vivre et travailler dans des conditions auxquelles l'organisme humain n'est pas habitué. À l'aide d'équipement et de véhicules spécialement conçus, le corps humain peut tolérer les conditions qui prévalent dans l'espace, notamment la microgravité, le rayonnement, les températures extrêmes, la faible pression, l'isolement et le confinement.

Lors de missions de courte durée, soit d'un mois ou moins, il se produit chez les astronautes une adaptation physiologique. Bien qu'elle soit importante, cette adaptation est relativement modeste par rapport aux changements qui se produisent pendant les séjours prolongés, comme ceux à bord de la Station spatiale internationale (SSI). Il ressort de diverses études que plus les séjours spatiaux sont longs, plus les changements sont significatifs.

Dans l'espace, nombre de ces changements ne posent pas réellement de problèmes. Mais au retour sur Terre, les effets d'un séjour dans l'espace peuvent se manifester. Dans certains cas, ces effets se font sentir immédiatement (p. ex. volémie réduite et réflexes amoindris). Dans d'autres cas, les répercussions prennent des mois, voire des années, à se manifester (problèmes de santé attribuables au rayonnement).

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